Au moment où tu recevras ce mot,
Je serai sans doute ici,
En train de penser à toi
Comme il m'arrive DEJA si souvent de le faire.
Au moment où tu ouvriras ce mp
Je serai sans doute ici,
En train de sourire,
Comme je le fais si souvent
Chaque fois que je pense à toi
Je souris parce que mon cœur lui, il te voit
Il devine tes grands yeux ébahis, et tes lèvres esquissant ce déjà si familier sourire lorsque tu lis mon nom à l’entrée de ce mp
Au moment où tu liras ces quelques lignes
Écrit en vitesse, à la vitesse de la lumière
Dans cette course effrénée, où les secondes s’échappent à toute vitesse vers notre passé
J’espère que tu sauras, combien tu comptes pour moi,
En cet instant marqué du sceau de la sincérité pour toujours
Enfin au moment où tu refermeras cette fenêtre de mp
Pour retourner à tes occupations
Je sais que tu souriras,
En pensant à moi et souviens toi
Que je serais encore en train de penser à toi.
Je te quitte du clavier mais jamais de mon cœur ni de mon esprit... libre
Et même si nos corps ne se sont pas encore rencontrés saches que tu vis déjà dans mon cœur dans mon âme et dans mon esprit
Tu as déjà les sens tout retournés rien qu’en lisant et écoutant et ce n'est que le clavier ou qu’un micro...
Alors imagine si l’humain se matérialisait,
Imagines, si j’étais aussi réel que ton PC ou ta souris…
*L'ange de passage*
L’histoire du baiser que je rêve de recevoir un jour de quelqu'un de spécial ;
Je rêve d’un amour qui aurait la douceur d’un ange, et en même temps, plus fort encore que la fureur d’une tempête
Qui s'abattrait sur les côtes créant des vagues qui s écraseraient violemment sur des rochers tranchants comme des lames
Dans ces moment-là on voit que finalement L’homme n’est finalement qu’un fétu de paille face à la puissance de Mère Nature.
Nos deux corps seraient comme emprisonnés dans ce grand tourbillon des sens
Je rêve d’un baiser
Doux, tendre et sensuel en même temps
Que tu me donnerais, un soir dans une ambiance de douceur et de passion.
Nous serions tous les deux
Nous serions tous les deux, main dans la main
Au bord d’une falaise surplombant la mer
Qui s’étend à perte de vue
Sous un ciel étoilé, et sous la protection de la lune
Cette merveilleuse amie
Toujours resplendissante de beauté,
Telle une pièce d’or tombée sur un tapis de velours.
Et une légère brise caresserait nos corps de son odeur marine
Envoûtante ; tout ceci n'est que magie, illusion et rêve
Et pourtant, lorsque mes yeux croisent ton regard,
Je vois bien, que tes rêves sont aussi fous et sensuels que les miens
Alors pourquoi cette attente ?
Viens avec moi, laisse-toi guidée par mon cœur et mon âme et ma vie
Qui n’attendent que toi …pour que ces rêves deviennent enfin réalité, saisit par des mots.
*L'ange de passage*
Pour
toi, l’inconnue
Nul ne saurait décrire la
vie
de cette jeune fille
Pas même elle.
Ouvertement,
elle aspire au bonheur.
Secrètement
à la liberté
de l’écureuil.
Bohémienne
de son chemin,
Elle est elle et elle,
A la fois seule
et pourtant si entourée,
Elle ne sait pas comment est sa
vie
;
Vie d’une autre ? Ou simplement
vie de la vie,
Elle ne
sait pas
comment est sa vie ;
Elle change de détresse
chaque jour,
Et change
de peau à chaque heure
Elle change, change, et reste
elle.
Fardée,
dansante,
elle rêve de liberté
La vraie, elle la trouve un moment de la
journée
Donc elle trouve sa
liberté
un moment de sa journée
Elle s’est échappée, puis se
retrouve enfermée.
Sur
les ailes d’un ange,
elle oublia un instant, ses démons
du passé,
La paix, la Vraie, la sienne délaissée.
Pour
un
moment
elle quitte sa robe,
Sa robe de tristesse,
pour son entourage, elle la remet.
A jamais elle taira
sa liberté.
Il
y a des gens
vrais
qui peuplent cette terre ;
Nous sommes légions et quand ton
cœur chante
elle l’entend…
*L'ange de passage*
Dans la pénombre de la nuit, j’entends les pleurs et les cris
Dans la lumière du jour, j’entends les gens qui souris.
Un nouveau départ vers quelque chose de meilleur,
J’espère que tu pars vers ce qu’indique ton cœur…
Oui, suivre son cœur c’est ce qu’il y a de meilleur !
En chaque chose en tout temps, mais pourquoi tu pleures autant ?
Parce que mon cœur saigne il est plein d’amertume,
Je suis si triste que ma bouche n’a plus de saveur
Je ne veux plus souffrir, je ne veux plus qu’on me dise « je t’aime » …
Je suis tombée sur trop de gens massacreurs…
Ils ont piétiné mon cœur avec ardeur
Et encore, je ne vous parle pas des râleurs…
Heureusement que j’ai gardé les mêmes valeurs
Et que je ne demande aucune faveur
Saviez-vous que même les rêveurs n’auront jamais la même terreur ?
Heureusement que j’ai gardé ma fraîcheur.
J’ai aussi gardé mon âme d’enfant
Je passe mon temps à jouer et à chanter
Au moins je ne sais pas faire semblant
Je suis accablée, tourmentée mais spontanée.
Je n’ai pas peur d’imaginer
Je n’ai pas peur de voyager
Mais j’ai peur de m’envoler…
Parce qu’après ma chute j’ai peur de ne pas pouvoir me relever.
*ENTENDEUSE*
Mon esprit se dissipe de mon corps, mon cerveau se mets en pause, je ressens l’énergie de la mort, alors des messages me cause.
Doit-on croire tout ce qui nous arrivent ? Ou doit-on parvenir à maintenir l’équilibre ?
Le choix est difficile, mais c’est une évidence, tout comme la flèche qui vas vers la cible, je suis dans la magnificence…
Ecoute en toi ces épreuves qui viennent se mettre sur la pâleur de ton visage…
Mets de l’encens dans le bénitier pour effacer ta mémoire, pour qu’elle soit vierge, dit le seul moine coiffée d’une tonsure.
Laisse le son du bol tibétain se répandre en toi, que le soleil apparaisse sur ses reflet d’or, et que le tout réchauffe ton esprit et ton corps…
Et là tu comprendras que la vie est magnifique.
*ENTENDEUSE*
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